Un dessert express, sans sucre. Ici ce sont les fruits sec qui viennent sucrer le dessert. Il est également possible de réaliser le chia Pudding la veille pour son petit-déjeuner du lendemain. Il tient très bien une nuit au frigo.
Ingrédients :
Pour 5 verrines / pots
90gDe graines de chia
70gDe raisons secs (ou autres fruits secs : dates, figues…)
4Grosses pommes (ou 5 petites). Privilégiez une variété plutôt sucrée (type : Belle de Boskoop, reine de la pâtisserie ou Golden)
½lDe lait végétal (ici lait de riz, car relativement neutre en goût)
1tbspDe concentré de vanille
1tbspDe cannelle en poudre
Quelques noisettes concassées pour la déco (topping)
1. Dans un saladier, versez le 1/2 L de boisson végétale et les graines de chia.
Ajoutez la vanille, 1/2 cac (cuillère à café) de cannelle et 35 g de raisins secs.
Bien mélanger.
Laissez gonfler une vingtaine de minute au minimum.
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2. Préparez votre compote de pommes (soit cuite ou crue).
Pelez les pommes, épépinez les et coupez les en morceaux.
3. Mélangez le pudding de chia et la compote dans une verrine ou un petit pot en verre.
Optez pour le dressage souhaité, ici quelques noisettes concassées, mais vous pouvez aussi ajouter du granola sans gluten avant de servir.
Version crue
Une version chia pudding crue avec une compote de pommes non cuites. Décoré avec quelques feuilles de menthes pour apporter une petite touche exotique.
Origines des graines de chia
Le chia : Salvia hispanica L.
Le chia est une plante de la famille des lamiacées (famille de la menthe), originaire du Mexique et du Pérou.
Elle est consommée depuis de très nombreuses année avant JC dans l’alimentation. Elle composait d’ailleurs une des base de l’alimentation des Aztèques et des Mayas. Mais aussi en tant que graines sacrées utilisées comme offrande dans les rituels religieux.
Les propriétés nutritionnelles des graines de chia :
Zéro gluten
Concentrées en protéines (environ 30G pour 100G), dont tous les acides aminés essentiels (AAE)
Riches en fibres, pour la plupart solubles. Les fibres alimentaires ne sont pas digérées par l’organisme et passent intactes dans le tube digestif jusqu’au gros intestin.
==>Les fibres solubles (gomme, glucanes, mucilages, pectines & algues) contribuent à abaisser le taux de cholestérol, ralentir l’absorption du glucose dans le sang (en modérant la sécrétion d’insuline).
==> Les fibres insolubles (cellulose, lignine, certaines hémicelluloses) sont les plus efficaces en cas de constipation, car elles accélèrent le transit intestinal.
Riches en antioxydants, oméga 3 (des acides gras dont notre corps à besoin et qu’il ne sait pas fabriquer lui même)et beaucoup de vitamines & minéraux
Contiennent quelques Oméga 6 (de type gamma-linoléique)
Si vous aimez réaliser vos pâtes à tarte sans gluten et que vous souhaitez expérimenter de nouvelle farine, ici vous trouverez votre bonheur. Ingrédient inédit pour un fond de tarte : La semoule fine de maïs.
Ingrédients :
400gd’épinards frais idéalement (mais vous pouvez opter pour des congelés)
200gde crème de soja
30gde graines (tournesol, courge, sésame…)
180gde semoule fine de maïs (vous en trouverez en vrac dans les magasins bio)
50gde fécule (pomme de terre, maïs ou arrow root)
6gde levure de boulanger (ici j’ai utilisé celle de Auchan)
100gde gruyère (ou de fromage de chèvre si vous évitez le produits laitiers de vache)
140gd’eau
½tspde sucre complet
1tbspd’huile d’olive
1tspde gros sel
1tspde poivre
Méthode :
Préparation de la pâte à tarte à la semoule de maïs :
– Déposez dans un saladier la levure sèche et l’eau préalablement chauffée (tiède).
– Ajoutez le sucre et l’huile d’olive et laisser reposer 10 minutes.
– Ajoutez ensuite la semoule de maïs puis le sel.
– Malaxez bien avec vos mains.
– Formez une boule, puis ajouter la fécule et re-malaxez bien.
2. Laissez pousser 15/20 min (plus la pousse sera longue, plus votre pâte gonflera – type pâte pan). Je préfère une pousse pas trop longue, ce qui me permet d’avoir un fond de tarte type pâte à pizza fine. Mais c’est selon les goûts…
– Passez ce temps, étalez la pâte avec les doigts, dans un moule à tarte (ou un moule à gâteau). Vous pouvez faire dépasser légèrement des bords.
3. Préparation de la garniture :
– Cuisez / décongelez vos épinards. Salez, poivrez, puis ajoutez la crème de soja.
– Versez la préparation dans votre fond de tarte
– Ajoutez votre fromage et vos graines
4. Enfournez dans un four préchauffé à 180°C pendant 30/40 minutes.
La lacto-fermentation est une technique de conservation qui consiste à laisser macérer les aliments avec du sel, dans un bocal, sans air. La fermentation crée des substances antibiotiques qui luttent contre les microbes pathogènes. Elle renforce également l’efficacité de notre système immunitaire.Ce mode de préparation préserve les vitamines et les éléments nutritifs des aliments pour la vitamine C. La fermentation améliore la digestibilité des produits et leur assimilation par notre organisme. Grâce aux aliments lacto-fermentés, vous obtiendrez des bactéries appelées probiotiques. Ce sont des bactéries en faveur pour votre santé.
Les effets des probiotiques, (donc des aliments fermentés) sur votre santé :
Réduction du risque de cancer du côlon
Lutte contre la diarrhée
Normalisation de la composition de la flore intestinale (y compris après un traitement antibiotique)
Amélioration de l’immunité- Meilleure tolérance du lactose (via l’activation de l’enzyme lactase qui aide à le digérer)
Meilleur contrôle du syndrome du côlon irritable et des maladies inflammatoires de l’intestin
Ingrédients :
Des bocaux en verre munis d’un couvercle hermétique et d’un joint en caoutchouc (Ex : bocaux Le Parfait)
Du sel marin ou un sel de gemme comme le sel rose de l’Himalaya mais surtout, pas du sel fin qui a souvent été traité, ou du sel fluoré, qui détruirait les bactéries
De l’eau de source ou filtrée (l’eau du robinet, chlorée, ne convient pas)
Des légumes (de votre choix)
Quels sont les aliments qu’il est possible de fermenter ?
Vous pouvez fermenter n’importe quel légume, mais notez bien que tous ne seront pas forcément bons à manger une fois lacto-fermenté. Les bons choix : chou, carotte, betterave, concombre, aubergine, ail, haricots verts, tomates vertes, cornichons, oignons…
Méthode :
Lavez et ébouillantez les bocaux, les couvercles et les joints. Laissez-les sécher sans les essuyer.
Lavez les légumes avec de l’eau de source (ou ne les lavez pas car le chlore tuerait les bactéries qu’ils contiennent naturellement et qui vont déclencher la fermentation)
Épluchez les si vous le souhaitez
Découpez les (si nécessaire ), plus ou moins finement
Diluez une cuillère à soupe de sel dans chaque litre d’eau de source que vous allez utiliser
Remplissez les bocaux avec les légumes (seuls ou mélangés), ajoutez éventuellement les aromates de votre choix (graines de moutarde, de cumin, de carvi, de fenouil, de coriandre, baies de genièvre, de poivre, clous de girofle, herbes aromatiques, feuilles de laurier, ail…)
Tassez, couvrez d’eau froide salée et refermez les bocaux.
Placez d’abord les bocaux à 20-22°C pendant 2 ou 3 jours afin de favoriser le début de fermentation, puis mettez-les dans un lieu plus frais (15-18°C) et patientez un petit mois minimum avant de déguster. Mais vous pouvez aussi attendre plusieurs mois. Plus la fermentation est longue, plus le résultat sera riche en probiotiques
Une fois entamé, le bocal doit être conservé au réfrigérateur et consommé dans les 15 jours.
Il est possible de « rater » ça lacto-fermentation, je m’explique, si la lacto-fermentation ne passait pas ou bien même ne se faisait pas, le légume prendrait alors une couleur bizarre, un aspect repoussant et surtout une odeur et une saveur absolument immonde et repoussante que personne n’oserait toucher au bocal. Il est donc impossible de se tromper !
Lorsque vous ouvrez votre bocal, s’il n’y a pas d’odeur (du moins pas d’autres que celle du légume), c’est que tout est OK et que vous pouvez déguster
Découvrez le secret d’une cuisson vapeur révolutionnaire, gardez vos aliments vivants !
Grâce aux progrès considérables de la biochimie cellulaire, la diététique a désormais mis en lumière l’importance des éléments vitaux contenus dans les aliments, vitamines, oligo-éléments et sels minéraux. Le corps en a besoin chaque jour pour se régénérer et vivre harmonieusement. C’est ce qui fait le caractère unique du Vitaliseur qui cuit les aliments à coeur sans dépasser les 95°, contrairement aux cuissons traditionnelles qui dépassent toutes largement 100° :
Il maintient la température de la vapeur constante en la régulant
Il cuit ainsi les aliments sans les dessécher, et garde vivants tous leurs éléments nutritifs (même les plus fragiles comme la vitamine C)
Mauvaises graisses, toxines et pesticides de surface sont éliminés en tombant dans l’eau de cuisson
Que se passe t-il lorsque vous cuisez vos aliments avec des appareils de cuissons « classiques » ?
L’autocuiseur
La cuisson à l’autocuiseur et toutes les cuissons à la vapeur dure (vapeur sous pression, eau bouillante) rendent les sels minéraux inassimilables, tuent les enzymes et la plupart des vitamines.
Le four, la poêle, le barbecue
Ils génèrent des goudrons et hydrocarbures par leurs températures élevées, en provoquant une concentration de graisses animales.
Le micro-ondes
Il détruit les électrons indispensables aux réactions métaboliques et aux échanges cellulaires. Il modifie radicalement la structure des aliments au point de rendre certaines protéines toxiques.
Le « Vitaliseur de Marion » à radicalement changé ma façon de cuisiner… Venez le découvrir au cours d’un Atelier Cuisine Saine.